Najeh Dali en essayant
de suivre les réactions des pays qui ont participé à la conférence des parties
contractes (COP17) des nations unies
sur les changements climatiques (CCNUCC) qui s’est déroulée à Durban en Afrique du sud du
28 novembre au 8 décembre avec deux jours de prolongation pour aboutir sur une
feuille de route dont le contenu soulève encore des réactions mitigées de la
part de nombreux pays et associations. En effet, selon les spécialistes ce sommet
a fait reculer les négociations par rapport à ceux tenues précédemment à
Copenhague et à Cancun où la communauté internationale avait arrivé à un
compris comportant la nécessité de baisser la température du globe de 2°C et de
créer un fonds verts pour aider les pays vulnérables à s’adapter aux effets
adverses des changements climatiques.
En effet, à Durban, des pays comme le canada se sont retirés du protocole de Kyoto et d’autres comme les Etats Unis déjà non adhérents à ce protocole ont exprimé leurs réticences vis-à-vis du fonds verts.
Cela sans discuter du japon qui semble être non convaincu de l’opportunité d’adhérer à une seconde phase du protocole et les autres pays comme la chine, l’inde et bien d’autres qui ne veulent pas prendre des engagements contraignants pour baisser les gaz à effet de serre malgré qu’ils sont parmi les premiers émetteurs de ces gaz en terme de pourcentage mondiale, et ce parce qu’ils se considèrent comme des pays en voie de développements et que les indicateurs utilisés pour la comptabilisation des émissions ne sont pas équitables
En effet, à Durban, des pays comme le canada se sont retirés du protocole de Kyoto et d’autres comme les Etats Unis déjà non adhérents à ce protocole ont exprimé leurs réticences vis-à-vis du fonds verts.
Cela sans discuter du japon qui semble être non convaincu de l’opportunité d’adhérer à une seconde phase du protocole et les autres pays comme la chine, l’inde et bien d’autres qui ne veulent pas prendre des engagements contraignants pour baisser les gaz à effet de serre malgré qu’ils sont parmi les premiers émetteurs de ces gaz en terme de pourcentage mondiale, et ce parce qu’ils se considèrent comme des pays en voie de développements et que les indicateurs utilisés pour la comptabilisation des émissions ne sont pas équitables
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