lundi 28 novembre 2011

Dali Najeh : Climat: les négociations sur l’avenir du protocole de Kyoto selon les présents débutent à bâton rompu, les pays vulnérables s'alarment : Dublin, Afrique du Sud 28 NOv _ 12 Dec 2011 · RÉAGIR


Dali Najeh : Climat: les négociations sur l’avenir du protocole de Kyoto selon les présents débutent à bâton rompu, les pays vulnérables s'alarment : Dublin, Afrique du Sud  28 NOv _ 12 Dec 2011
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·         Voila comme convenu de vous présenter les dépêches à l’instant sur les négociations de l’avenir du protocole de kyoto / convention cadre des nations unies sur les changements climatiques , qui se passe actuellement à Dublan , Afrique du Sud du 28  Novembre au 12 décembre 2011 et qui représente presque la dernière étape pour trouver un compromis pour sauver l’avenir de ce protocole pour le prolonger le protocole de Kyoto ou  le remplacer par un autre. Sachant que le protocole de Kyoto est l’instrument international qui fixe les quotas des émissions des gaz à effets de serre  (CO2 et autres) que les pays industrialisés sont amenés à baisser avant la fin du protocole avant 2012. LES USA n’ont pas signés ce protocole (les USA représentent plus de 20% des émissions totales de la plante).Je vous recommande lire cet article publier à l’instant
-       Plus de 190 pays, des plus vulnérables face au réchauffement aux moins pressés d'agir, se retrouvent pour deux semaines à Durban (Afrique du Sud), pour tenter de redonner un cap aux négociations sur les changements climatiques et un avenir au protocole de Kyoto, emblème en sursis. (c) Afp
-       La conférence de l'ONU sur le climat, qui a débuté lundi à Durban (Afrique du Sud) pour douze jours, aura pour principale tâche d'esquisser un avenir au protocole de Kyoto et de répondre aux appels pressants lancés par les pays les plus vulnérables face au réchauffement.
-       Pour beaucoup de personnes dans les pays en développement et en Afrique, le changement climatique est une question de vie ou de mort", a souligné le président sud-africain Jacob Zuma, en clôture de la cérémonie d'ouverture.
-       En tant que conférence africaine, le résultat de cette 17e conférence sur le changement climatique doit reconnaître que résoudre le problème du climat ne peut pas être séparé de la lutte contre la pauvreté", a-t-il ajouté.
-       Les représentants de 191 pays sont attendus jusqu'au 9 décembre au centre des conférences de Durban, où la cérémonie d'ouverture a débuté avec quarante minutes de retard dans l'attente du chef de l'Etat sud-africain.
-       En deux semaines à peine, nous devons obtenir des résultats", a souligné à la tribune la ministre mexicaine des Affaires étrangères, Patricia Espinosa, qui a pris la parole la première en tant que présidente de la précédente conférence tenue en décembre 2010 à Cancun (Mexique).
-       Elle a ensuite laissé sa place à son homologue sud-africaine, Maite Nkoana-Mashabane, qui va présider cette conférence dont la finalité est de tenter de contenir la hausse du thermomètre mondial sous le seuil des 2°C.
"Un accord, d'urgence"
-       Les inquiétudes soulevées par le changement climatique vont bien au-delà des murs de ce superbe endroit aux millions de personnes là-bas, dans les rues, qui appellent à la justice climatique", a lancé la ministre sud-africaine.
-       L'avenir du protocole de Kyoto, seul traité international imposant des objectifs de réduction d'émissions de gaz à effet de serre à une quarantaine de pays industrialisés, s'annonce comme un sujet délicat aux côtés de questions comme les financements dont pourraient bénéficier les pays les plus vulnérables.
-       Les pays en développement exigent que les pays développés reprennent des engagements à l'issue d'une période initiale qui se termine fin 2012 et, au-delà du protocole de Kyoto lui-même, que les négociations débouchent sur un nouveau cadre international impliquant tous les pays.
-       CO2 Les Etats insulaires, parmi les plus vulnérables face au changement climatique, ont tiré la sonnette d'alarme en affirmant que la volonté des plus grands émetteurs de CO2 de retarder les décisions constituait "une trahison envers les populations les plus vulnérables face au changement climatique".
-       L'attitude des grands pays émergents comme l'Inde et la Chine, mais aussi des Etats-Unis, paralysés par leur situation politique intérieure, va être cruciale pour éviter un nouvel échec, alors que ce processus onusien reste très fragile deux ans après Copenhague.
-       Mais les Etats-Unis ont montré montré qu'ils n'étaient pas vraiment enclins à discuter d'un cadre contraignant à Durban, s'en remettant aux seules promesses de réductions d'émissions déjà prises par la plupart des grands pays.
-       Il est "peu probable" que les grandes économies revoient à la hausse d'ici à 2020 leurs objectifs pour réduire les émissions de gaz à effet de serre, a estimé devant la presse le négociateur en chef Jonathan Pershing.
-       La responsable climat de l'ONU, Christiana Figueres, a invité les délégués à trouver l'inspiration dans la longue lutte de Nelson Mandela contre le régime de l'apartheid en citant des propos de l'ex-président sud-africain: "Cela paraît toujours impossible jusqu'à ce que ce soit fait..."
-       Par ailleurs, l'appel à un camp "Occupy", inspiré de "Occupy Wall Street" n'a pas connu un grand succès, attirant une cinquantaine de militants.

Tiré par les publications de la COP par Dali Najeh/Najeh Dali

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