dimanche 27 novembre 2011

Dali Najeh : Sommet de mondial sur les Changements climatiques 8 Nov- 12 Déc 2012 : comment les pays africains et notamment les pays arabes dont ceux de l’Afrique du Nord se sont préparés à cet evenement.


Dali Najeh : Sommet de mondial sur les Changements climatiques 8 Nov- 12 Déc 2012 : comment les pays africains et notamment les pays arabes dont ceux de l’Afrique du Nord se sont préparés à cet evenement.

En dépit, des multiples sommets pour trouver une solution aux échecs repérés des négociations pour trouver un compris international qui s’satisfait les différents concernés entre pays industrialisés et pays en développement et notamment ceux qui sont le plus touchés par les effets adverses des changements climatiques (sécheresse, inondations, famines, incendies, catastrophes naturelles, élévation des niveaux de la mer, disparition des iles,….), voila une fois de plus la communauté internationale se réunie actuellement et jusqu’au 12 décembre à Durban et ce dans le cadre de la conférence des parties de la convention cadre des nations unies sur les changements climatiques. Seront présents à ce sommet avec son segment de haut niveau plus de 100 ministres et chefs de délégations et plus de 2000 représentants des pays, communautés scientifiques et de nombreuses associations civiles.
Il faut noter que les départements les plus importants en matière de sciences et prévention des effets des changements climatiques dont le GIEC et l’OMM notent que les conséquences de la hausse de la concentration de gaz à effet de serre dans l’atmosphère (GES) ont dépassé en 2010 toutes les prévisions , et dont les conséquences pourraient être irréversibles si les objectifs de réduction des émissions ne bougent pas malgré et notamment en matière de réduction non pas de 20% mais de 30 % de l’émission des GES , et ceux par les technologies propres, le recours aux énergies renouvelables, le changement des modes production et de consommation et, de mettre au point un fonds spécial pour aider les pays en développement pour atténuer les effets de changements climatiques dont les besoins dépassent les centaines des milliards de dollars qu’il faut mobiliser avant 2020.
Bien que les pays industrialisés ont promis 30 milliards de dollars entre 2010 et 2012, mais rien de concret n’est prévu pour l’après 2013, alors que selon l’accord de Copenague/Cancun, l’aide devait atteindre 100 milliards par an d’ici 2020.
Avec le refus de plusieurs pays développés et industrialisés d’assumer leurs responsabilités et de s’engager réellement vers les objectifs cités ci-haut ; peut-on sauver la planète de ce danger.
Il est impératif de sauver le protocole de Kyoto qui expirent en 2012 (qui établi les obligations des groupes des pays en matière de réduction des émissions des gaz à effets de serre)

Espérons que ce sommet de Durban qui se déroulera à partir du 28 novembre redonne un nouvel horizon à la lutte contre les changements climatiques, permette la création de nouvelles sources de financement pour l’aide aux pays du Sud et le renforcement des objectifs de réduction des émissions de gaz à effet de serre.

Mais la grande question qui se pose actuellement comment les pays africains et notamment les pays arabes dont ceux de l’Afrique du Nord et en particulier la Tunisie se sont préparés à ce sommet. Qui présentera les intérêts et défendra les causes des communautés les plus touchées par ce fléau.
Avant les résultats et le bilan final de ce sommet (espérant pas sous forme pas une petite feuille de route) une série d’articles est à la disposition du lecteur de saisir mieux la question.
Dali Najeh

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